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Textes

Mercredi 10 mars 3 10 /03 /Mars 16:35
Ambiance torride où il n'est question que de bites, de culs sodomisés et d'éjaculation .......

Les garçons se plaisent décidément bien dans nos petits culs, ils prennent leur temps, ils vont et viennent en nous lentement, de toute la longueur de leur queue.

 

Ils discutent même entre eux de nos corps et comparent les sensations qu’ils éprouvent quant à la taille de leur engin par rapport à la petitesse du logis dans lequel ils sont fourrés.

 

            « - humm, qu’elle est étroite, j’ai la bite comprimée à exploser ….

 

            - Ha, elle se serre sur moi à chacun de mes coups , elle veut vraiment que je reste en elle …   

           

            - C’est un vrai plaisir de faire l’amour avec elles. »

 

C’est un délice que cette pénétration, mon Pierre est vraiment un expert et il sait ce qui me fait plaisir, il dose ses efforts et joue avec mon petit trou qui s’offre à lui. Ce « pervers » se retire de moi au moment où j’ai le plus envie de le sentir bien au fond, pour aussitôt présenter son gland à l’entrée de mon orifice, il imprime alors avec ses reins un mouvement tournant destiné à m’ouvrir le plus possible.

 

Je comprends vite ce qu’il prépare, mais je ne suis pas encore tout à fait prêt, j’ai encore trop envie de le savourer, ça faisait trop longtemps à mon goût que nous n’avions pas baisé ensemble.

  

Et puis je l’avoue, j’avais peut être un peu d’appréhension à recevoir Claude en moi !

 

Pendant tout ce temps, je tenais la main de Jacques, la sueur perlait à son front, son corps était secoué de soubresauts à chacun des assauts de son fouteur. Mais on lisait le plaisir dans ses yeux, dès que son partenaire faisait semblant de se retirer, elle s’empalait sur lui sauvagement.

 

            « - Donne moi un baiser chérie, comment fais tu pour supporter un tel chibre …

 

- Ho, très bien, c’est la première pénétration qui est la plus difficile, après ça va tout seul. Et, crois moi une bite de cette taille c’est un régal, j’ai l’impression d’avoir le bas ventre rempli, et quand il éjacule ça déborde. Tu vas voir quand ça va être ton tour. Tu sais depuis qu’il ma pris et défloré je ne peux plus m’en passer …

 

            - Humm, j’attends de voir quand nos cavaliers vont se décider à changer de monture.

 

            - Viens que je te branle mon ange. »

 

« - Claude veut tu goûter au petit cul d’André, il est à point pour toi je pense, regarde comme je te l’ai bien préparé, vois ce trou béant qui ne demande qu’à te recevoir ...

 

            - Pierre c’est un honneur que tu me fais de m’offrir ta compagne,

 

- Tu parles, je crois qu’elle t’a choisie, et puis vous avez déjà un peu consommer il me semble, non ?

 

- Oui, et je te cache pas que c’était délicieux. Mais tu vas voir, tu devrais pas être déçu non plus avec Jacques, elle est très ardente et avide de sperme plein son ……

 

- Hé bien les garçons, on n’est pas des marchandises. Et puis on perd du temps, j’ai très envie de changer de cavalier moi.

 

            - Moi aussi,

 

            - Alors, en selle les filles …. »

 

Dans un ensemble parfait nos sodomiseurs sortent de leur nid douillets et changent de place prestement.

 

C’est maintenant que les choses vont se compliquer pour moi, pensai-je, en souriant intérieurement et en réfléchissant à la meilleure position pour recevoir mon beau partenaire et son imposant objet.

 

Je me décide en une fraction de seconde, c’est allongé, les jambes en hauteur et bien écartées que je vais accueillir mon fouteur, j’adore cette position car elle permet de regarder mon partenaire dans les yeux, de voir sur son visage la montée de son plaisir, de le caresser et aussi l’embrasser. En plus, je trouve que l’on sent bien mieux le membre de son enculeur, qui peut pénétrer très profond dans le corps. C’est d’ailleurs une position classique chez les hétéros, et n’en suis-je pas un ancien ?

 

Jacques a décidé d’adopter la même position, aussi nous voilà allongées côte à côte, main dans la main, dans l’attente de l’assaut.

 

Il semble que Pierre et Claude veuillent opérer ensemble, ils se positionnent chacun entre nos jambes.   

 

Je ferme les yeux et retiens ma respiration.

 

Claude se penche sur moi et m’embrasse doucement, tendrement. Son bassin pèse sur le mien et je sens un bout de chair qui pousse sur mon petit trou. Je m’en empare fermement et je fais faire des ronds à son gland tout autour de mon anus et j’essaie de timides pénétrations.

 

Je réalise maintenant la difficulté de cette tâche. Une si grosse bite pour un si étroit petit cul ! Mais j’en ai vraiment envie, et puis ça n’est pas maintenant que je vais renoncer. Je positionne bien l’engin dans l’axe de mon cul-sexe.

 

« - Viens Claude, je suis prête pour te recevoir. Fais moi l’amour ….. maintenant ….. pousse      …. n’ai crainte …..

 

            - Me voilà chérie …. Je vais te remplir de ma queue. »    

 

Je sens le gland à la porte de mon corps, mes muscles anaux opposent une résistance au monstre.

 

En même temps que Claude pousse, je fais travailler mes reins vers l’avant, à la rencontre du ventre de mon partenaire.

 

Je jette un coup d’œil à l’autre couple. Ils ont interrompus leurs ébats pour observer ce qui se passe, tout en se masturbant mutuellement.

 

            « - Courage André, il y est presque, me murmurent-ils à l’oreille. »

 

Effectivement, mon sphincter a cédé à la pression, le gland vient d’entrer de quelques millimètres. Je sens que la victoire du mâle est proche. 

 

Mon baiseur accentue la poussée, je sens imperceptiblement la queue qui s’enfonce. Mon anus s’écarte de plus en plus, la douleur est maintenant de plus en plus forte. Des larmes coulent de mes yeux, j’ai la bouche grande ouverte à la recherche de ma respiration.

 

Mes trois compagnons me couvrent de baisers et me lèchent sur toutes les parties accessibles de mon corps.

     

Je sens Claude qui hésite …..

 

« - Viens continue, tu y es presque. C’est trop bon, encore … encore … encore … ma douleur commence à se changer en plaisir et nous allons bien jouir … »   

 

L’homme a finalement gagné, sa pine est maintenant enfoncée de plusieurs centimètres entre mes reins. Et il continue sa progression ! Où s’arrêtera-t-il donc ?

 

Ma douleur a disparue, et laissée la place à cette sensation indéfinissable et intense du membre qui me remplit de plus en plus le ventre.  

 

Maintenant que nous sommes unis, nous allons pouvoir forniquer, le plaisir est à notre portée .

 

Nous trouvons ensemble les mouvements de va et vient qui nous entraînent dans une copulation forcenée.

 

            « - Chérie c’est trop bon …. Ton cul me presse la bite à l’écraser ….. hummm ….

 

- C’est de la baise comme j’aime mon taureau, ne t’arrête pas, j’aimerais jouir en même temps que toi …. Ha … quelle bonne bite … »

 

Au risque de vous lasser, cher lecteur, j’abrège notre dialogue, mais laisser aller votre imagination tout en vous caressant.  

 

Le sexe de mon mâle entre et sort sans difficultés maintenant. C’est un délice de sentir cette grosse et longue chose fouiller mon anus-vagin.

 

L’étalon semble infatigable et je l’accompagne avec enthousiasme dans sa course. C’est tout à fait ce qui me convient, sur ce point il ressemble à Pierre. J’ai vraiment de la chance de rencontrer des garçons avec un tel tempérament.

 

Mais que fait mon autre amant pendant ce temps ?

 

Voyant que notre union avait évolué favorablement, mes deux amis ont repris leurs ébats amoureux.

 

Et … ils s’en donnent à cœur joie les coquins.

 

Pierre est allongé sur sa femelle, bien emboîté en elle. Ils sont ventre contre ventre, bouche contre bouche. Jacques a passé ses jambes autour des reins de son baiseur. Ils vont bon train tous les deux, dans un ensemble parfait. Plus rien n’existe autour d’eux, même pas nous.

 

Leurs gémissements annoncent la montée irrésistible du plaisir.

 

Je connais bien mon Pierre, je sais qu’il ne va tarder à jouir, sa partenaire aussi semble-t-il.

 

C’est un spectacle merveilleux et hallucinant que ces deux hommes qui font l’amour sans retenue.

 

Soudain Pierre se tend comme un arc. Sa queue au fond de l’anus de Jacques.

 

            « - Ouiiii, vas-y jouis …. Je sens ton jus qui m’inonde ….. encore … encore …. »

  

Je me sens soudain prête à accompagner ce couple dans la jouissance.

 

Une furieuse envie de jouir me prend, je veux moi aussi sentir le sperme me remplir, sentir l’homme prendre son plaisir en moi.

 

Claude me semble à point, ses mouvements se font plus désordonné, sa queue est agitée de soubresauts qu’il ne maîtrise plus, son souffle se fait plus court, la virilité du mâle en rût reprend le dessus, ces gestes ne sont plus caresses, tous ces signes annoncent l’éjaculation prochaine.

 

Et, la voilà, puissante, telle un raz de marée. Claude s’est enfoncé en moi jusqu’aux testicules, son pieu est entièrement dans mon corps maintenant.

 

Il laisse sa semence aller par jets saccadés, m’envahir jusqu’au tréfonds de mes intestins. 

 

La jouissance par le cul s’empare de moi, en même temps qu’une formidable éjaculation. J’aurais presque oublié que moi aussi j’ai un pénis.

 

Je voudrais fondre mon corps dans celui de mon maître, je le serre de toute mes forces entre mes bras. Une paix intérieure obscurcie mon esprit.

 

Je me détache de mon enveloppe corporelle, et je survole les corps emmêlés sur le grand lit, vautrés dans l’extase et le plaisir des sens. 

 

Combien de temps a duré cette évanouissement ? Impossible de le dire, mes amis aussi se sont assoupis, repus de luxure.

 

Je sens une langue entre mes fesses, c’est Jacques, qui lèche et avale le foutre qui s’échappe de mon anus.

 

« - Tu veux bien partager la liqueur de mon Claude ? Je n’avais pas encore vu une telle abondance de sa part. J’aime tant le goût de ce qui vient de lui.

 

- Continue mon chou, ça me fait le plus grand bien. Ton mec m’a quand même pas mal arrangé.

 

            - Je vois ça, mais tu crois que Pierre m’a épargné ? dit-il en riant »

 

Je ris à mon tour, tout en collant sa tête serrée entre mes cuisses.

 

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Par André - Publié dans : Textes - Communauté : Communauté gay
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Mercredi 3 mars 3 03 /03 /Mars 13:02
La soirée est chaude, très chaude, nous nous laissons tous aller aux plaisirs du sexe.

Quel bonheur ce fut, de merveilleux souvenirs .......


Tous réunis … et unis



 

  Le spectacle qui s’offrait à nos yeux valait largement celui que nous nous étions offert dans le privé de la salle de bains.

 

Imaginez, Pierre et Jacques allongés tête bêche, sur le lit ; en train de se donner une fellation mutuelle, tellement pris par leur jeu qu’ils ne nous ont pas entendu entrer. Leurs gémissements sont à la mesure du plaisir qu’ils se donnent. Une petite pointe de jalousie me submerge un court instant, mais après tout, nous sommes ici pour prendre du plaisir et je sais que je récupérerais mon amant une fois la petite fête terminée.

 

Claude et moi nous nous servons un bon verre de vodka, accompagné d’un petit sniff de poppers, tout en admirant nos compagnons qui nous ont enfin aperçu, mais n’arrêtent pour autant de se sucer.   

 

Nous nous allongeons doucement près d’eux, et nous nous mettons à caresser leur corps brûlants. Mes mains courent sur les corps enlacés, je m’empare de leurs testicules que je malaxe tendrement, mes lèvres courent sur les torses en sueur. Leur fellation se fait de plus en plus passionnée, leurs mains se mettent à me parcourir. L’un s’empare de mon sexe, l’autre s’insinue entre mes fesses. J’ai reconnu la main de Pierre, mais je vous laisse deviner quelle partie il a choisi.

 

Pendant ce temps, Claude n’est pas en reste, il a retrouvé sa vigueur, et il promène sa queue sur nous, je la sens même se glisser un instant entre mes fesses. Vu l’énormité de l’engin, dont je vous ai déjà parlé, il n’est pas passé inaperçu le bougre, ça n’était pas pour me déplaire, mais vraiment je ne sais si je pourrais engloutir un morceau pareil. Enfin, je verrais bien tout à l’heure, le mieux sera peut être que Pierre prépare la voie ; et nous n’en sommes pas encore là. 

 

Je tiens toujours les couilles de mes suceurs, et Claude vient d’enfoncer un doigt dans leur anus. L’effet conjoint de nos caresses produit l’effet attendu, ils se mettent tous les deux à éjaculer, en poussant de petits cris de plaisirs.

 

C’est le moment que j’attendais. Sans lâcher la bite de Pierre, je m’empare de celle de Jacques, que j’avale avec appétit. J’avais hâte de goûter une liqueur que je ne connaissais pas encore. Un tel délice, que plus une trace de sperme ne subsistait après l’avoir dégusté. J’en fis autant avec mon homme, je retrouvais avec plaisir son sexe et son odeur.

 

Jamais deux sans trois, je m’emparais de Claude, pendant que des mains aventureuses et gourmandes parcouraient mon corps dans ses parties les plus intimes.

 

Pierre et Jacques m’encourageais :

 

                « - Suce le bien, André, oui comme ça, mets le au fond de ta gorge ….

 

                - Regarde comme il bande pour toi …..

 

                - Lèche lui les couilles il adore ….

 

                - Il va t’arroser la figure de son jus, si tu continue ….. »

 

Pour m’encourager, Jacques me donnait des claques sur les fesses – mais avais-je vraiment besoin d’encouragements ? J’avais déjà prouvé mon ardeur dans ce genre d’exercice.

 

Pierre s’empara de la bouche de mon partenaire pour un baiser passionné et violent. Sa langue dardée comme un pénis

 

Jacques plaqua sa bouche sur mon anus pour un baiser tout aussi passionné et violent. Sa langue elle aussi dardée et dure comme un pénis pénétra mon cul.

 

Nous venions de nous envoler vers le royaume des plaisirs du sexe et de la luxure.

 

Le temps pour nous suspendit son vol (j’ai lu ça quelque part il me semble lol).

 

Le silence n’était rompu que par nos plaintes, nos gémissements, les frôlements des corps, les petites tapes sur les fesses des uns et des autres, les bruits de succion des bouches et des langues affairées. 

 

Notre groupe formait sur le lit une masse compacte de corps imbriqués, enchevêtrés, soudés les uns aux autres, par des mains ou des bouches collées aux queues ou aux culs. L’heure des pénétrations n’avait pas encore sonnée, nous voulions nous enivrer de nos corps, mêler nos odeurs.

                 

Un vertige s’était emparé de nous, et je vivais ces moments comme dans un rêve, un brouillard. La jouissance du sexe nous submergeait, plus rien ne comptait et n’existait, que ces bites en érection, ces culs offerts, ces bouches gourmandes, et nos râles annonciateurs de sublimes éjaculations.

 

Que de chemin j’avais parcouru depuis mon premier mâle sucé à la va vite, un peu à la sauvette !  

 

Je ne saurais dire combien de temps ont duré ces ébats. Le calme revint aussi vite qu’il était parti, d’un commun accord – et sans nous le dire – nous avions décidé de ménager nos forces et de préserver nos érections.

 

D’ailleurs à ce régime j’aurais joui rapidement, ma pine tressautait sans arrêt et j’avais le gland trempé de cyprine, mes amoureux également.  Nous nous sentions épuisés, comme si nous avions fait l’amour pendant des heures (peut-être d’ailleurs) et pris notre plaisir de façon continue – éjaculations après éjaculations - à en avoir les testicules complètement vidées.

 

Il importait de retrouver la forme rapidement, et pour ça rien de telle qu’une bonne douche, suivie d’un petit en-cas et d’un verre de remontant.

 

Oui, je vous vois venir, sous la douche on va recommencer, hé bien pas du tout.

 

Jamais nous ne primes une douche aussi calme. Nos jeux étaient seulement un peu érotiques, sans provocations sexuelles : découvertes mutuelles des  corps, échanges de chastes baisers, caresses coquines, petits mots doux murmurés aux oreilles de chacun, main qui se serrent, corps qui se frôlent. Nous nous sommes lavés les uns les autres avec des rires ingénus, amusés par nos bites enfin sages et au repos –ce que nous n’avions pas eu l’occasion de voir depuis notre arrivée dans l’appartement.

 

 Heureux de notre nudité, et d’être réunis et unis dans un même plaisir d’exprimer notre sexualité d’hommes entre eux, nous prîmes place autour de la table, pour attaquer un petit repas, que nous avions préparé tous ensemble– riche en vitamines et très reconstituant, le tout arrosé de champagne.

 

Nous avons bavardés comme des commères tout le long du repas, parlant de nous et des autres, parlant cinéma, peinture, littérature et sexe bien sûr.

 

L’alcool et la bonne chère commençaient à échauffer nos esprits, et, ça a commencé à dégénérer lorsque Jacques est passé sous la table, avec son verre, et a trempé nos pénis dans le champagne bien frais, pour ensuite les lécher consciencieusement, le gland bien décalotté.     

 

Pour lui, le jeu consistait à nous faire retrouver l’ érection qui lui conviendrait, quitte à nous amener au bord du plaisir et quel que soit le temps que ça prendrait.

 

Autant vous dire, que pour une groupe de fous du sexe comme nous, la température est vite montée et l’ambiance s’est vite débridée. 

 

La bouche de Jacques faisait des merveilles sous la table, et les regards des hommes commençaient à changer. Je n’ai pas été épargné sur cette affaire là, et je dois dire que la bouche de Jacques est très convaincante.

 

A l’occasion, je serai curieux de tester nos mâles, et qu’ils nous disent les yeux fermés, lequel de leur femelle pompe le mieux – je ne vais pas manquer de proposer ce petit jeu qui devrait plaire à tous.  

 

J’expose donc l’idée à Jacques dès qu’il réapparaît de dessous la table, satisfait de son travail. Nos étalons sont bien entendus très enthousiastes, eux, dès qu’il s’agit de se faire sucer, toujours prêts !

 

Donc je fais mettre les garçons debout, je leur bande les yeux soigneusement. Jacques prend le dard de chacun en bouche pendant cinq minutes, sans parler, sans toucher le partenaire, puis j’en fais de même.

 

            « - Pierre qui t’a sucé en premier ?

 

            - Euh, je ne me rappelle plus très bien,

 

            - Tu triches, une réponse

 

            - C’est toi André »

 

Pour le coup, je suis un peu vexé, mais ne dit rien.

 

            « - Et toi Claude ?

 

            - Je pense aussi que c’est toi »

 

Alors là, c’est Jacques qui est vexé à son tour.  

 

            « - Bon, vous avez tort tout les deux !

 

            - Donc on recommence, dix minutes cette fois. Je me demande d’ailleurs si vous ne l’avez pas fait exprès.

 

            - Non, non dirent en chœurs nos deux compères, le sourire au lèvres et la quéquette en érection. »

 

Cette fois c’est moi qui commence, je suis verni sur ce coup là, j’ai droit à dix minutes de chacun, au lieu de cinq. Ce qui fait que je savoure mon plaisir, et que je sors toute ma science et mon expérience, je décide de m’activer d’abord sur le pieu de Claude. 

 

Jacques pour se « venger » et me distraire, se poste derrière moi, se colle dans mon dos pour que je sente bien sa dureté, il s’empare de mon sexe et me masturbe doucement.  

 

Après avoir fait gémir mes deux hommes, je laisse la place à Jacques, très impatient de prendre la suite et me montrer ses talents. J’en profite moi aussi pour me plaquer dans son dos, et je glisse mon sexe entre ses fesses, à l’entrée de son petit trou, tout en m’emparant de sa virilité.

 

Passé les deux fois dix minutes, je me retrouve avec la queue profondément enfoncé dans le petit derrière de notre suceur, le coquin semble apprécier cette intrusion dans son intimité, il en redemanderait même.

 

Et nos deux mâles n’ont rien vu, rien entendu, trop occupés par le plaisir de la fellation.    

 

A regret je m’extrais de mon petit nid douillet et tiède.

 

            « - Alors, Pierre, qui t’a sucé en premier ?

 

            - C’est toi, chérie.

 

            - Et toi Claude qui t’a sucé en deuxième ?

 

            - C’est mon Jacques, j’en suis certain .

 

            - Bien, les gars vous méritez une récompense . »

 

Se disant, je me jette dans les bras de mon amant, je l’embrasse goulûment, mon ventre collé au sien.

 

Nos amis en font autant de leur côté, avec une passion non dissimulée.

 

Rapidement nous nous retrouvons allongés, les uns près des autres. Les caresses en tout sens reprennent de plus belles. Les bouches cherchent et trouvent les pénis et les anus pour des baisers enflammés.

 

Je suis de plus en plus excité, le sang cogne  à mes tempes. Je sens venir le moment où je vais réclamer qu’une virilité pénètre au plus profond de moi.

 

Pierre qui me connaît bien, c’est aperçu de mon trouble.

 

            « - Je vais te prendre ma chérie, me murmure-t-il doucement à l’oreille, je vais de cette façon aussi préparer la voie pour la grosse bite de Claude, qui te fait tellement envie.

 

            - Ho, oui amour, j’ai faim de ce monstrueux morceau de chair. Hé, mais, regarde nos deux amoureux sont déjà entrain !

 

            - Hum, tu as raison. Ne perdons pas de temps. Hé, Claude, garde ton foutre pour le petit cul de ma maîtresse, car moi je réserve le mien pour celui de ta compagne.

 

            - Pas de soucis, c’est bien comme ça que je voyais les choses, répondit-il tout en s’approchant pour m’embrasser. »

 

Bon, André, te voilà prévenu, tu as plutôt intérêt de sniffer quelques bonnes bouffées de poppers.   

 

 Nos deux mâles nous font mettre à quatre pattes, l’une à côté de l’autre. Un peu de gel, et je sens Pierre qui s’enfonce en moi sans ménagement.

 

Ma copine de sodomie grimace à l’introduction de l’énorme queue de son étalon. Je l’embrasse tendrement pour l’aider à supporter ce moment.

 

Nous voilà empalé toutes les deux, les mâles s’activent furieusement entre nos reins.

 

Nos râles ne tardent pas emplir la pièce.

 

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Par André - Publié dans : Textes - Communauté : Communauté gay
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Mercredi 24 février 3 24 /02 /Fév 13:21
Après avoir fait une petite promenade histoire de se reposer et pour ces messieurs de recharger les batteries, nous nous retrouvons à deux couples pour boire un dernier verre (enfin, c'est ce qui était prévu) ......

Cette promenade des plus salutaire nous a remis en forme. En marchant, des mains s’égarent sur mes fesses, je ne sais pas trop à qui elles sont, Claude m’arrête de temps en temps pour m’embrasser furtivement, mais avec passion.

 

Pierre de son côté ne se gêne pas avec Jacques, et fait de même.

 

Les tabous et la jalousie ne sont pas de notre groupe, et les couples se reforment au détour d’une rue, pour se séparer de nouveau.

 

Je commence à me dire que la suite des évènements chez Pierre risque d’être plutôt chaude. Ma foi, voilà  une expérience qui me tente énormément. J’ai déjà des picotements entre mes fesses, annonciateurs de plaisirs fous.

 

La promenade se termine comme dans un rêve, nous sommes devant la porte de l’appartement. Nous nous regardons les uns les autres avec un léger sourire, curieux mais pas inquiets de ce qui va suivre.

 

Pierre fait les honneurs de son logis à nos invités, et leur fait visiter toutes les pièces, y compris notre chambre que nous avions laissé un peu en désordre après nos ébats de l’après-midi.

 

                « - André, ma petite maîtresse de maison, tu peux me donner un coup de main pour servir un verre , et ranger un peu pour que nous ayons assez de place pour nous installer confortablement ?

 

                - Oui mon chéri avec plaisir, et je vois où tu veux en venir, dis-je en riant gaiement . »

 

Je commence par sortir verres et bouteilles et servir nos deux amoureux qui se pelotent allègrement en  attendant.

 

Je pose discrètement dans un coin facile d’accès, les accessoires indispensables pour notre petite fête à venir (préservatifs, poppers, cock-rings, godes ….. au cas où)

 

Pierre et moi poussons les meubles du milieu de la pièce, et à la place nous installons deux matelas cote à cote.

 

                « - Hé bien, le décor est planté mes chéris, ça vous plait ?

     

                - Super André ! » s’exclament mes trois compères qui se précipitent sur moi pour m’embrasser, et me cajoler en remerciements.

 

Mais je me demande comment entâmer les « hostilités », et qui va se décider le premier à faire le geste qui va tout faire basculer.

 

Je bois un verre et décide d’aller prendre une douche et me mettre à l’aise.

 

Pierre fait un signe discret à Claude, qui m’emboîte le pas.

 

Jacques aussitôt s’installe près de mon amant. 

 

« C’est parti ! pensez-je, soulagé. »

 

  A peine entrer dans la salle de bains, Claude me prend ma tête à deux mains et plaque sa bouche sur la mienne avec autorité.  Sa langue tente de forcer mes lêvres, j’oppose une résistance, juste ce qu’il faut pour l’exciter encore un peu plus. Je finis par capituler et sa langue envahie ma bouche, fouille dans tous les coins, tourne, retourne, se durcie, entre et sort pour me faire comprendre ses desseins. Patience beau mâle, tu n’es pas encore à point !

 

Je suce sa langue, comme je ferais d’un sexe, goulûment, profondément. Claude sait maintenant que moi aussi j’ai faim de lui, comme lui a faim de moi.    

 

Mes hanches sont plaquées aux siennes, j’opère des mouvements tournants avec mon bassin, je sens de plus en plus la rigidité du sexe de mon partenaire. J’ai l’impression que je vais découvrir tout à l’heure un engin de belle taille, et ça m’effraie un peu.

 

Ma chemise est déjà ouverte, ma ceinture débouclée, il s’attaque à ma braguette maintenant.

 

                « - Tu ne perds pas de temps dis donc, murmurai-je en enlevant chemise et pantalon. Laisse moi te déshabiller Claude, j’ai hâte de voir ta queue. »

 

Le bougre, ne m’en laisse pas le temps, il retire maillot, jean et string en un tour de main.

 

Il est là, nu devant moi, dans la glace derrière lui, se reflête son dos, sa chute de reins, ses fesses musclées, ses cuisses puissantes.

 

Je pose mes mains sur sa poitrine, je titille légèrement ses tétons durcis, je caresse doucement son ventre plat et poilu … et je ne peux m’en empêcher, mon regard descend vers son bas ventre.

 

Bigre, c’est bien ce que je pensais, j’ai là, sous mes yeux ébahis, un pénis d’une taille impressionnante.       

 

Emerge d’un buisson fourni de beaux poils frisés  et luisants, un pieu d’environ vingt deux centimètres de long, au moins douze de circonférence, dure comme de l’acier. J’empoigne cette belle bite sans hésiter. J’ai la main bien remplie, et je sens tout le poids de cette chair peser entre mes doigts, une vie et une puissance intérieure la font vibrer et sursauter.  Mon dieu, comment vai-je la faire pénétrer dans mon petit trou ?

 

                « - N’ai pas peur André, c’est difficile la première fois, mais j’y mets beaucoup de douceur et de tendresse. D’ailleurs Jacques ne s’en plaint pas , et il en redemanderait plutôt deux fois qu’une.

 

                - J’ai l’habitude avec Pierre qui n’est pas mal monté non plus, mais là, c’est plus que de la gourmandise qu’il faut avoir pour engloutir cet engin. Mais bon, j’ai pas mal d’appétit, et maintenant que je la tiens je vais te déguster mon chéri, et tu ne seras pas déçu. » 

 

J’embrasse tendrement mon étalon et glisse sa queue entre mes cuisses, il en profite pour passer ses mains dans la raie de mes fesses.

 

A califourchon sur cette superbe monture j’entame des mouvements d’avant en arrière et me mets à masturber mon étalon, entre mes cuisses bien serrées.          

 

Claude me serre dans ses bras, de plus en plus fort, à la mesure de son plaisir qui monte dans son bas ventre. Nos lèvres se rejoignent avec passion, nos langues se retrouvent pour un baiser ardent qui n’en finit plus, notre étreinte se fait fougueuse, nos sens en émoi ne contrôlent plus nos corps. Je parviens à me détacher doucement et je glisse le long du torse de mon partenaire. Me voici à genoux devant lui, sa belle queue près de mon visage,et fierement dressée elle semble me narguer et m’inviter.

 

Je la prends en main fermement, lentement je tire sur le prépuce pour bien dégager le gland, déjà humide et luisant. Je dépose de légers baisers partout sur cette belle bite, le gland d’abord, le pénis que je lèche aussi par la même occasion, les couilles enfin que j’avale goulûment. Et je reprends ma course en sens inverse, celà plusieurs fois de suite. Et enfin je le prends en bouche.

 

Humm, ce sexe est un délice, avec un goût indéfinissable, sucré et parfumé. Malgré sa dureté extrème, il est doux et soyeux. Un vrai plaisir et un régal, j’éprouve les mêmes sensations que la première fois où j’ai sucé un homme.

 

Ma bouche se fait sexe, et j’enferme voracement se morceau de chair entre mes lèvres. Dès ce moment, ma tête me tourne, je ne me maitrise plus, je deviens vorace, affamé de cette queue que je veux déguster tout mon saoul, sans répit jusqu’à ce qu’elle demande grâce en laissant couler dans ma bouche cette liqueur que j’adore. Je suce sans plus pouvoir m’arrêter ce pénis monstrueux, son gland remplis ma bouche, je l’avale au plus profond de ma gorge mais je ne parviens pas à l’engloutir totalement. Je le serre entre mes machoires comme je le ferais s’il était dans l’endroit que vous imaginé. Ma langue tourne, tourne autour furieusement. Je veux avoir ce sexe à ma merci, je veux que Claude me supplie d’arrêter, ou qu’il éjacule brutalement sans prévenir.

 

Je presse tendrement ses testicules que je sens pleines d’un bon jus, je reprends ma respiration et concentre mon attention sur ce gland turgescent, prêt de l’explosion, ma langue et mes lèvres passent et repassent, embrassent, lêchent, sucent, mordillent. Je l’avale de nouveau au plus profond, pour le rejeter et encore le reprendre.

 

Claude geint de plus en plus fort, ses mains posées sur ma tête pour me retenir plaqué à lui. Je passe une main entre ses fesses et insinue un doigt vers son anus que je pénêtre sans préparation. Mon partenaire se cabre, tellement que sa queue finit par entrer complètement dans ma gorge. C’est le moment qu’il choisit pour lancer son foutre en moi, ma bouche se remplit rapidement, le jus me coule des lêvres, j’avale une quantité incroyable de ce sperme bouillant. Cette éjaculation à la taille de cette bite royale n’en finit pas. Je la tète comme un animal tète les mamelles de sa mère.

 

Au bout de quelques instants nos redescendons sur terre. Je suis à genou au pied de mon mâle, la bouche dégoulinante de son jus. Son pénis toujours vaillant est trempé et laisse tomber des gouttes sur mon visage.

 

                « - Hé mon chéri, mais je n’ai pas tout bu !

 

                - Tu es un sacré gourmand André ! N’ai crainte, tu en auras encore, j’ai de la réserve et sans me vanter je suis capable de tirer plusieurs salves de suite. D’autant qu’avec une partenaire comme toi, on est vite excité.

 

                - Faisons un brin de toilette, et allons rejoindre les autres. Je trouve qu’ils ne font pas beaucoup de bruit. »


A suivre

 

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Par André - Publié dans : Textes - Communauté : Communauté gay
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Mercredi 17 février 3 17 /02 /Fév 17:30
Un peu de calme ( .... enfin je pense) devrait nous faire le plus grand bien après ces heures torrides passées à baiser .....

Nous nous réveillons doucement, les premiers gestes qui nous viennent à l'esprit : bisous et calins.

 

Ce qui est étrange, c'est que Pierre bande toujours. Et, donc, n'ayant pas bougé, son sexe est toujours planté dans mon anus-sexe. 

 

" - Apparemment nous sommes inséparables mon beau mâle, il va pourtant falloir bouger un peu. Je suis trempé de foutre - et toi aussi. Une petite douche serait la bienvenue non ?" 

 

Nous parvenons à nous séparer l'un de l'autre.

 

Tu ne sembles pas avoir envie de remuer, et j'en profite pour admirer ton corps, tu es tel un fauve épuisé après avoir copulé avec sa femelle. Ton sexe enfin calmé repose sur ta cuisse, je ne peux m'empêcher de le saisir doucement, de le carresser et de l'embrasser, du gland aux testicules. Mes doigts peignent les poils de ton pubis. Je ne résiste pas au plaisir de lécher tout ces trèsors, poisseux de sperme, qui s’offrent à moi et à ma bouche gloutonne.

 

Hummm, mais c’est que ce coquin serait prompt à se reveiller, il faut que j'arrête, ça ne serait pas raisonnable.

 

Pierrre se lève soudain, il me prend dans ses bras et m’emporte dans la salle de bains d’un pas décidé.

 

Je ne peux m’empécher de sourire, je sens sous mes fesses sa queue qui s’est durcie.

 

                « - Hé oui, tes rondeurs me font toujours cet effet là, mon ange.

 

                - Quand te calmeras tu obsédé !? Ne me dis pas que tu as déjà rechargé tes batteries, et que tu es prêt à remettre ça ! Laisse moi le temps de souffler, j’ai bien sûr encore envie de toi mais mon petit cul a besoin d’un peu de calme.

 

                - Oui, ma chérie, je crois que ma pine à aussi besoin d’un peu de calme ……… avant une autre tempête. »

 

A l’idée d’une autre tempête, nous éclatons de rire, nos yeux se mettent à briller et nos lêvres se rejoignent pour un tendre baiser.

 

Nous nous éternisons sous la douche, l’un lavant l’autre, sans pouvoir s’arrêter. Pour le coup, nous voilà propres comme des sous neufs, sans plus aucune traces de nos ébats amoureux.

 

J’enduis Pierre d’une crème douce et parfumée, et bien entendu je m’arrête longuement aux endroits les plus intimes de son corps. Evidemment il en fait de même, mais lui s’arrête à l’endroit qui me provoque le plus d’émoi et de sensation.

 

Nous décidons de sortir en ville, pour prendre l’air, et des forces, en allant manger un morceau dans un petit restaurant où nous sommes sûrs de rencontrer des amis, des semblables.

 

Nous passons une soirée très animée et joyeuse, Pierre et moi nous dévorons à belles dents notre repas et ne lésinons pas sur un délicieux vin rosé bien frais.

 

Les conversations avec nos amis et voisins de tables sont des plus passionnantes, et parfois coquines. Au café, les regards se font plus appuyés et amoureux, les mains s’égarent sous la table.

 

Bien chaude, je ne peux m’empêcher de poser un baiser langoureux sur les lèvres de Pierre ; sous les vivas de l’assistance. Du coup, la timidité de certains s’envolent et d’autres baisers s’échangent.

 

Le repas terminé, nous nous retrouvons à deux couples, décidés à terminer la soirée en discothèque.

 

En route donc, et après la danse on verra ce qui se passera pensais-je. D’autant que l’un de nos deux amis est migon à croquer et je me verrais bien au mileu de ces partenaires pour finir la nuit.

 

La boîte est pleine à craquer, compte tenu de l’heure l’ambiance est déjà très chaude.

Je sais que Pierre n’est pas jaloux et il me laisse « draguer » Claude – le mignon dont je vous ai parlé tout à l’heure. Pendant ce temps là il se place auprès de Jacques, le petit ami de Claude.

 

Je crains le pire pour la fin de la nuit, si nous nous retrouvons tout les quatres ensemble dans la même pièce.

 

En attendant nous dansons et buvons de la vodka, c’est la fête !

 

Dans un coin sombre, Claude m’a pris par la taille et embrasser fougeusement. Sa langue a envahi ma bouche,  son corps s’est plaqué contre mon ventre et j’ai senti son sexe bandé appuyer sur le mien.

 

Nous nous dirigeons vers la backroom, malheureusement l’endroit est très fréquenté. D’ailleurs j’y aperçois Pierre en compagnie de Jacques et je leur adresse un baiser de loin, il me répondent par un sourire qui en dit long sur leurs intentions. Nous nous retrouverons mes gaillards, vous ne perdez rien pour attendre !  Claude en profite pour me serrer de plus près , et cette fois il est derrière moi.

 

« Hum, Claude je sens ton sexe sur mes fesses, continue tu m’excites.

  

- Allons danser, si je continue à me frotter comme ça contre ton petit cul, je vais vite éjaculer.

 

- Ho non, attends la nuit n’est pas finie »

 

Finalement toutes les bonnes choses ont une fin, la discothèque va fermer ses portes, il nous faut partir.

 

Nos deux couples se sont un peu mélangés, Pierre tient Jacques par la taille et m’embrasse, Claude me tient par la main et embrasse Jacques. Nous sommes très amoureux les uns des autres et on peut apercevoir des renflements prometteurs dans les pantalons de ces messieurs. 

 

Nous décidons d’aller boire un dernier verre chez Pierre, tout en faisant une petite promenade en ville.    

 

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Par André - Publié dans : Textes - Communauté : Communauté gay
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Mercredi 10 février 3 10 /02 /Fév 13:15
La semaine dernière j'ai découvert avec plaisir les joies de la sodomie, j'en redemande comme de juste.

Ceux qui connaissent de me diront pas le contraire.

Bonne lecture .............

Des sniffs de poppers aidant, nous nous retrouvons allongés et très excités sur le lit.

 

J'ai des envies de masturbation, comme par hasard, Pierre aussi.

 

«  - Allonge toi Pierre, hum, pas mal le cock-ring, il met bien tes couilles en valeur !»

 

J'empoigne sa pine à pleine main, et je la serre bien fort, tout en opérant des va et vient et en gardant son gland bien décalotté. Son pieu grossit et durcit rapidement dans ma main experte.

 

Les yeux fermés il s'empare de ma bite, je pense défaillir tellement il me serre fort. Pierre commence à me branler, sa main s'est faite douce et câline, il effleure à peine mon sexe, du gland jusqu'aux couilles.

 

Nous voilà tous les deux avec une belle érection, après ces jeux de mains.

 

Mais, j'ai profité de ton trouble, tout en te branlant j'ai réussi à t'attacher les poignets aux montants du lit.

 

Te voilà donc à ma merci mon beau mâle ! Pour ton plaisir et le mien.

 

Je commence par admirer en détail ton superbe sexe. Je ne m'en lasse pas de ce membre toujours prêt à me donner du plaisir, ce pieu énorme qui émerge du buisson fourni de tes poils pubiens !! Je tire vers le bas la peau de ton pénis pour bien dégager le gland, que je presse pour ouvrir l'orifice par lequel jailliront tout à l'heure des jets de foutre. Hum, cette belle queue bien dure et ces veines gonflées à craquer qui la parcourent, ce gland rouge violacé avec une perle de jus qui suinte et que je m'empresse de lécher. Je malaxe tes testicules avec une infinie tendresse, je sais qu'elles sont de nouveau pleines de bon sperme.

 

« - Tu es à ma merci Pierre, laisse moi te masturber et te faire bander encore plus fort. »

 

Ma main monte et descends lentement et légèrement, j'effleure à peine ton pénis.

 

« - André, arrête tu m'excites trop.

 

- c'est ce que je veux mon chou. »

 

Pendant ce temps mon autre main caresse son corps en tout sens. Une incursion entre ses cuisses musclées ... et entre ses fesses, un doigt qui s'égare vers l'anus. Hum, tu aimes ça coquin.

 

Je ne me lasse pas de ton corps poilu, moi qui suis imberbe et chasse le moindre poil. J'aime ton corps velu et je me frotte tout entier contre toi à m'en faire rougir la peau.

 

Je ne résiste plus à la vue de cette belle queue, il faut que je t'avale mon amour.

 

Je veux sentir vibrer ta bite au fond de ma gorge.

 

Déjà ton gland remplis ma bouche ....

 

« - Suce moi ma chérie, j'aime ta bouche ahhhhh oui continue ... »

 

Doucement j'engloutis ton pénis, doucement, doucement.

 

Ma langue tourne autour de cet énorme morceau de chair. Tu donnes des coups de reins pour aller plus loin encore, tu n’es qu’un sauvage en rut !

 

Ton sexe est au fond de ma gorge, tu es tout entier en moi, mes lèvres sont dans tes poils et touchent tes couilles, j'enfonce un doigt dans ton anus.

 

Moments sublimes, j'hésite entre te faire jouir maintenant ou mettre ce bijou dans une autre partie de mon corps.

 

Ta bite toujours en bouche, je me positionne pour te présenter mon cul et mon sexe.

« - A toi de choisir ce que tu préfères de moi.

 

- Les deux ma cochonne, je vais te lécher le cul et te pomper le dard tour à tour, et tu jouiras la première. »

 

Ce faisant je rapproche mes fesses de son visage, et Pierre colle sa bouche à mon anus. Sublime caresse qui me fait crier de plaisir ! Une langue pointue et dure pénètre dans mon petit trou, pour entamer un doux va et vient.

 

Pierre me sodomise avec sa langue ! Je n'en peut plus, mon excitation est à son comble ! Je colle mes fesses au visage de mon amant, avide de sentir sa langue au plus loin dans mon anus-sexe. Cette caresse diabolique j'aimerais qu'elle ne s'arrête jamais.

 

« - Pierre calme toi, sinon tu vas jouir dans ma bouche.

 

- Alors viens jouir dans la mienne, mon excitée du cul !

 

- Tout de suite beau mâle tes désirs sont des ordres, je vais te faire goûter mon foutre »

 

Joignant le geste à la parole, je change de position, assis sur le torse de Pierre (je sens d'ailleurs ses poils me gratter les testicules ! humm), je lui présente ma bite que j'enfonce d'autorité dans sa bouche.

 

« - Pompe moi mon chéri, vas-y, tu seras récompensé bientôt et tu redeviendras mon maître et moi ton esclave»

 

Tous mes amants disent que je suce bien, mais pour un actif je trouve que Pierre n'est pas mal du tout non plus. Moi qui suis plus habitué à sucer, qu'être sucé j'apprécie sa bouche gourmande.

 

Mon jus commence à bouillir dans mes couilles, le sang tape à mes tempes, mes reins donnent des coups de plus en plus forts.

 

Mon plaisir arrive comme explose un volcan, je sens d'abord mon foutre monter dans mon pénis puis jaillir en jets puissants dans la bouche béante de Pierre.

 

Je hurle ma jouissance et pousse un cri d'amour :

 

«  - Je t'aime, je suis à toi, prends moi, viole moi, encule moi, défonce moi, maintenant ! »

 

Après cette éjaculation violente, je m'écroule sur le corps de Pierre. Nous sommes sexe contre sexe, bouche à bouche et je bois le sperme dont je l'ai abreuvé.

 

J'écarte les jambes au maximum, et par quelques petits coups de reins, je place son membre entre mes fesses. Je me cambre et son gland vient se poster à l'entrée de mon petit trou. Je me redresse, en appui sur les mains.

 

Me voilà prêt pour me faire empaler, et le meilleur dans la sodomie ce sont les premiers centimètres, je ne vais donc pas m'en priver, je vais même en user et en abuser.

 

J'appuie un peu mon anus-sexe sur le gland de Pierre, une légère douleur et le premier centimètre est rentré, encore une légère pression et le gland tout entier est en moi.

 

« - Alors mon beau mâle en rut, tu as envie de baiser ta femelle en chaleur ?

 

- Ouiiii, ma chienne je vais te remplir le cul comme jamais,

 

- Hummm quel programme! mon queutard d'amour ! »

 

Je relève mon bassin, sa queue ressort, je replonge aussitôt ..... je retrouve les mêmes sensations qu'à la première introduction, mais je l'enfonce un peu plus profond cette fois.

 

Et je continue ce mouvement, de longues minutes, plusieurs fois, doucement, de plus en plus profond à chaque fois.  Je halète de plaisir, Pierre gémit plus fort à chacune des pénétrations.  Le membre de mon homme est planté au plus profond de mes reins, je le sens vivre en moi. Mes fesses écrasent son bas ventre. Je fais des petits mouvements en ronds, ce qui me permet de savourer les poils drus de son pubis entre mes fesses. 

 

« - Ma petite chatte, je ne vais pas tenir longtemps comme ça. 

 

- Moi non plus, ta bite de cheval me met le feu au cul mon chéri."    

 

Je me relève encore lentement, puis lorsque son gland est au seuil de mon anus,  je retombe brutalement et je savoure la longueur de son sexe qui me pénètre.

 

Pierre et moi, nous nous prenons à ce jeu, et nous recommençons de nombreuses fois, les yeux dans les yeux.  Une fois de plus, il n’existe plus que nos corps et nos sexes. Nos bouches finissent par rester soudées l’une à l’autre, nos langues mélangées.

 

Je libère Pierre de ces liens. Je n'y tiens plus, j'ai trop besoin de sentir ses bras m'enlacer.   A peine détaché, ses mains m'empoignent durement par les hanches (.... André mon ange, ça va être ta fête, pensais-je).  Pierre me soulève juste ce qu'il faut pour que sa verge ne sorte pas entièrement de mon "sexe", et ensuite il me laisse retomber sur lui.

 

Et le bougre recommence plusieurs fois, en esquissant un sourire.  Quelle terrible sensation ! J'ai l'impression que son pieu me transperce les entrailles.  C'est ça le supplice du pal ? J'en redemande, à ce rythme là je crois plutôt que nous allons vite jouir tous les deux.

 

D’une main Pierre me pince les tétons, de l’autre il me malaxe les fesses, pendant ce temps je tiens la tête de mon amant entre mes mains. Nos mouvements se sont arrêtés, nous sommes collé l’un à l’autre. La bite de mon homme est au plus profond de mon cul devenu matrice. Ses couilles plaquées entre mes fesses, je sens son  gland bouger dans mon corps.

 

Son souffle se fait rauque, mon sphincter  serre encore plus fort sa pine, et j’entame un langoureux et ample mouvement de va et vient.

 

A chaque coups de reins, le pieu qui me transperce se fait de plus en plus dur et brutal. Pierre a pris la direction des opérations maintenant, il me tient fermement par les hanches, me soulève et me laisse retomber sur lui, tout en donnant de violents de bassin.

 

Enfin Pierre me plaque fort sur son bas ventre, je sens sa bite loin dans mon cul-vagin. Il se cambre, ferme les yeux, son sexe est pris de spasmes terribles, dans le même temps mon anus se resserre et s'élargit convulsivement comme si j'avais un orgasme, je sens une chaleur terrible me remplir les entrailles.

 

Ce traitement commence à faire effet sur nous. La folie s’empare de nos corps, nos mouvements sont de plus en plus désordonnés.

 

Je ne peut m’empêcher de crier :

 

                « - Pierre fais moi jouir, je t’en prie, ne t’arrête pas, encore, encore, encore ………..

 

                - Tiens, prends ça, et ça …. Tu me sens bien ma folle de la baise ? Ma chérie, que ton petit cul charmant me donne de plaisirs !

Enfin, sa bite explose en moi. Des torrents de foutre coulent dans mes intestins. Au comble du plaisir, je ne peux retenir une éjaculation.

 

Mon foutre n'arrête pas de gicler !! Je voudrais que ça continue encore et encore. 

 

- Humm oui, je sens ton zob cracher son jus. Donne moi encore de ta semence, remplis moi sauvage." 

 

Nos corps sont collés l'un à l'autre par nos sexes, instants d'ivresse que nous essayons de prolonger.  Je m'allonge sur Pierre, sa pine reste plantée en moi. Nous échangeons de doux et tendres baisers, en nous caressant. 

 

Me voilà trempé de sperme, sur le ventre et les fesses.

 

Je m’écroule de bonheur et d’épuisement dans les bras de mon fouteur.

 

Epuisés, saoulés de plaisir et de jouissance, nous nous endormons tout deux.



kiss a
Par André - Publié dans : Textes - Communauté : Communauté gay
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