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Mercredi 3 mars 3 03 /03 /Mars 13:02
La soirée est chaude, très chaude, nous nous laissons tous aller aux plaisirs du sexe.

Quel bonheur ce fut, de merveilleux souvenirs .......


Tous réunis … et unis



 

  Le spectacle qui s’offrait à nos yeux valait largement celui que nous nous étions offert dans le privé de la salle de bains.

 

Imaginez, Pierre et Jacques allongés tête bêche, sur le lit ; en train de se donner une fellation mutuelle, tellement pris par leur jeu qu’ils ne nous ont pas entendu entrer. Leurs gémissements sont à la mesure du plaisir qu’ils se donnent. Une petite pointe de jalousie me submerge un court instant, mais après tout, nous sommes ici pour prendre du plaisir et je sais que je récupérerais mon amant une fois la petite fête terminée.

 

Claude et moi nous nous servons un bon verre de vodka, accompagné d’un petit sniff de poppers, tout en admirant nos compagnons qui nous ont enfin aperçu, mais n’arrêtent pour autant de se sucer.   

 

Nous nous allongeons doucement près d’eux, et nous nous mettons à caresser leur corps brûlants. Mes mains courent sur les corps enlacés, je m’empare de leurs testicules que je malaxe tendrement, mes lèvres courent sur les torses en sueur. Leur fellation se fait de plus en plus passionnée, leurs mains se mettent à me parcourir. L’un s’empare de mon sexe, l’autre s’insinue entre mes fesses. J’ai reconnu la main de Pierre, mais je vous laisse deviner quelle partie il a choisi.

 

Pendant ce temps, Claude n’est pas en reste, il a retrouvé sa vigueur, et il promène sa queue sur nous, je la sens même se glisser un instant entre mes fesses. Vu l’énormité de l’engin, dont je vous ai déjà parlé, il n’est pas passé inaperçu le bougre, ça n’était pas pour me déplaire, mais vraiment je ne sais si je pourrais engloutir un morceau pareil. Enfin, je verrais bien tout à l’heure, le mieux sera peut être que Pierre prépare la voie ; et nous n’en sommes pas encore là. 

 

Je tiens toujours les couilles de mes suceurs, et Claude vient d’enfoncer un doigt dans leur anus. L’effet conjoint de nos caresses produit l’effet attendu, ils se mettent tous les deux à éjaculer, en poussant de petits cris de plaisirs.

 

C’est le moment que j’attendais. Sans lâcher la bite de Pierre, je m’empare de celle de Jacques, que j’avale avec appétit. J’avais hâte de goûter une liqueur que je ne connaissais pas encore. Un tel délice, que plus une trace de sperme ne subsistait après l’avoir dégusté. J’en fis autant avec mon homme, je retrouvais avec plaisir son sexe et son odeur.

 

Jamais deux sans trois, je m’emparais de Claude, pendant que des mains aventureuses et gourmandes parcouraient mon corps dans ses parties les plus intimes.

 

Pierre et Jacques m’encourageais :

 

                « - Suce le bien, André, oui comme ça, mets le au fond de ta gorge ….

 

                - Regarde comme il bande pour toi …..

 

                - Lèche lui les couilles il adore ….

 

                - Il va t’arroser la figure de son jus, si tu continue ….. »

 

Pour m’encourager, Jacques me donnait des claques sur les fesses – mais avais-je vraiment besoin d’encouragements ? J’avais déjà prouvé mon ardeur dans ce genre d’exercice.

 

Pierre s’empara de la bouche de mon partenaire pour un baiser passionné et violent. Sa langue dardée comme un pénis

 

Jacques plaqua sa bouche sur mon anus pour un baiser tout aussi passionné et violent. Sa langue elle aussi dardée et dure comme un pénis pénétra mon cul.

 

Nous venions de nous envoler vers le royaume des plaisirs du sexe et de la luxure.

 

Le temps pour nous suspendit son vol (j’ai lu ça quelque part il me semble lol).

 

Le silence n’était rompu que par nos plaintes, nos gémissements, les frôlements des corps, les petites tapes sur les fesses des uns et des autres, les bruits de succion des bouches et des langues affairées. 

 

Notre groupe formait sur le lit une masse compacte de corps imbriqués, enchevêtrés, soudés les uns aux autres, par des mains ou des bouches collées aux queues ou aux culs. L’heure des pénétrations n’avait pas encore sonnée, nous voulions nous enivrer de nos corps, mêler nos odeurs.

                 

Un vertige s’était emparé de nous, et je vivais ces moments comme dans un rêve, un brouillard. La jouissance du sexe nous submergeait, plus rien ne comptait et n’existait, que ces bites en érection, ces culs offerts, ces bouches gourmandes, et nos râles annonciateurs de sublimes éjaculations.

 

Que de chemin j’avais parcouru depuis mon premier mâle sucé à la va vite, un peu à la sauvette !  

 

Je ne saurais dire combien de temps ont duré ces ébats. Le calme revint aussi vite qu’il était parti, d’un commun accord – et sans nous le dire – nous avions décidé de ménager nos forces et de préserver nos érections.

 

D’ailleurs à ce régime j’aurais joui rapidement, ma pine tressautait sans arrêt et j’avais le gland trempé de cyprine, mes amoureux également.  Nous nous sentions épuisés, comme si nous avions fait l’amour pendant des heures (peut-être d’ailleurs) et pris notre plaisir de façon continue – éjaculations après éjaculations - à en avoir les testicules complètement vidées.

 

Il importait de retrouver la forme rapidement, et pour ça rien de telle qu’une bonne douche, suivie d’un petit en-cas et d’un verre de remontant.

 

Oui, je vous vois venir, sous la douche on va recommencer, hé bien pas du tout.

 

Jamais nous ne primes une douche aussi calme. Nos jeux étaient seulement un peu érotiques, sans provocations sexuelles : découvertes mutuelles des  corps, échanges de chastes baisers, caresses coquines, petits mots doux murmurés aux oreilles de chacun, main qui se serrent, corps qui se frôlent. Nous nous sommes lavés les uns les autres avec des rires ingénus, amusés par nos bites enfin sages et au repos –ce que nous n’avions pas eu l’occasion de voir depuis notre arrivée dans l’appartement.

 

 Heureux de notre nudité, et d’être réunis et unis dans un même plaisir d’exprimer notre sexualité d’hommes entre eux, nous prîmes place autour de la table, pour attaquer un petit repas, que nous avions préparé tous ensemble– riche en vitamines et très reconstituant, le tout arrosé de champagne.

 

Nous avons bavardés comme des commères tout le long du repas, parlant de nous et des autres, parlant cinéma, peinture, littérature et sexe bien sûr.

 

L’alcool et la bonne chère commençaient à échauffer nos esprits, et, ça a commencé à dégénérer lorsque Jacques est passé sous la table, avec son verre, et a trempé nos pénis dans le champagne bien frais, pour ensuite les lécher consciencieusement, le gland bien décalotté.     

 

Pour lui, le jeu consistait à nous faire retrouver l’ érection qui lui conviendrait, quitte à nous amener au bord du plaisir et quel que soit le temps que ça prendrait.

 

Autant vous dire, que pour une groupe de fous du sexe comme nous, la température est vite montée et l’ambiance s’est vite débridée. 

 

La bouche de Jacques faisait des merveilles sous la table, et les regards des hommes commençaient à changer. Je n’ai pas été épargné sur cette affaire là, et je dois dire que la bouche de Jacques est très convaincante.

 

A l’occasion, je serai curieux de tester nos mâles, et qu’ils nous disent les yeux fermés, lequel de leur femelle pompe le mieux – je ne vais pas manquer de proposer ce petit jeu qui devrait plaire à tous.  

 

J’expose donc l’idée à Jacques dès qu’il réapparaît de dessous la table, satisfait de son travail. Nos étalons sont bien entendus très enthousiastes, eux, dès qu’il s’agit de se faire sucer, toujours prêts !

 

Donc je fais mettre les garçons debout, je leur bande les yeux soigneusement. Jacques prend le dard de chacun en bouche pendant cinq minutes, sans parler, sans toucher le partenaire, puis j’en fais de même.

 

            « - Pierre qui t’a sucé en premier ?

 

            - Euh, je ne me rappelle plus très bien,

 

            - Tu triches, une réponse

 

            - C’est toi André »

 

Pour le coup, je suis un peu vexé, mais ne dit rien.

 

            « - Et toi Claude ?

 

            - Je pense aussi que c’est toi »

 

Alors là, c’est Jacques qui est vexé à son tour.  

 

            « - Bon, vous avez tort tout les deux !

 

            - Donc on recommence, dix minutes cette fois. Je me demande d’ailleurs si vous ne l’avez pas fait exprès.

 

            - Non, non dirent en chœurs nos deux compères, le sourire au lèvres et la quéquette en érection. »

 

Cette fois c’est moi qui commence, je suis verni sur ce coup là, j’ai droit à dix minutes de chacun, au lieu de cinq. Ce qui fait que je savoure mon plaisir, et que je sors toute ma science et mon expérience, je décide de m’activer d’abord sur le pieu de Claude. 

 

Jacques pour se « venger » et me distraire, se poste derrière moi, se colle dans mon dos pour que je sente bien sa dureté, il s’empare de mon sexe et me masturbe doucement.  

 

Après avoir fait gémir mes deux hommes, je laisse la place à Jacques, très impatient de prendre la suite et me montrer ses talents. J’en profite moi aussi pour me plaquer dans son dos, et je glisse mon sexe entre ses fesses, à l’entrée de son petit trou, tout en m’emparant de sa virilité.

 

Passé les deux fois dix minutes, je me retrouve avec la queue profondément enfoncé dans le petit derrière de notre suceur, le coquin semble apprécier cette intrusion dans son intimité, il en redemanderait même.

 

Et nos deux mâles n’ont rien vu, rien entendu, trop occupés par le plaisir de la fellation.    

 

A regret je m’extrais de mon petit nid douillet et tiède.

 

            « - Alors, Pierre, qui t’a sucé en premier ?

 

            - C’est toi, chérie.

 

            - Et toi Claude qui t’a sucé en deuxième ?

 

            - C’est mon Jacques, j’en suis certain .

 

            - Bien, les gars vous méritez une récompense . »

 

Se disant, je me jette dans les bras de mon amant, je l’embrasse goulûment, mon ventre collé au sien.

 

Nos amis en font autant de leur côté, avec une passion non dissimulée.

 

Rapidement nous nous retrouvons allongés, les uns près des autres. Les caresses en tout sens reprennent de plus belles. Les bouches cherchent et trouvent les pénis et les anus pour des baisers enflammés.

 

Je suis de plus en plus excité, le sang cogne  à mes tempes. Je sens venir le moment où je vais réclamer qu’une virilité pénètre au plus profond de moi.

 

Pierre qui me connaît bien, c’est aperçu de mon trouble.

 

            « - Je vais te prendre ma chérie, me murmure-t-il doucement à l’oreille, je vais de cette façon aussi préparer la voie pour la grosse bite de Claude, qui te fait tellement envie.

 

            - Ho, oui amour, j’ai faim de ce monstrueux morceau de chair. Hé, mais, regarde nos deux amoureux sont déjà entrain !

 

            - Hum, tu as raison. Ne perdons pas de temps. Hé, Claude, garde ton foutre pour le petit cul de ma maîtresse, car moi je réserve le mien pour celui de ta compagne.

 

            - Pas de soucis, c’est bien comme ça que je voyais les choses, répondit-il tout en s’approchant pour m’embrasser. »

 

Bon, André, te voilà prévenu, tu as plutôt intérêt de sniffer quelques bonnes bouffées de poppers.   

 

 Nos deux mâles nous font mettre à quatre pattes, l’une à côté de l’autre. Un peu de gel, et je sens Pierre qui s’enfonce en moi sans ménagement.

 

Ma copine de sodomie grimace à l’introduction de l’énorme queue de son étalon. Je l’embrasse tendrement pour l’aider à supporter ce moment.

 

Nous voilà empalé toutes les deux, les mâles s’activent furieusement entre nos reins.

 

Nos râles ne tardent pas emplir la pièce.

 

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Par André - Publié dans : Textes - Communauté : Communauté gay
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