J'aime les bites pour les plaisirs qu'elles me donnent.

Ambiance torride où il n'est question que de bites, de culs sodomisés et d'éjaculation .......

Les garçons se plaisent décidément bien dans nos petits culs, ils prennent leur temps, ils vont et viennent en nous lentement, de toute la longueur de leur queue.

 

Ils discutent même entre eux de nos corps et comparent les sensations qu’ils éprouvent quant à la taille de leur engin par rapport à la petitesse du logis dans lequel ils sont fourrés.

 

            « - humm, qu’elle est étroite, j’ai la bite comprimée à exploser ….

 

            - Ha, elle se serre sur moi à chacun de mes coups , elle veut vraiment que je reste en elle …   

           

            - C’est un vrai plaisir de faire l’amour avec elles. »

 

C’est un délice que cette pénétration, mon Pierre est vraiment un expert et il sait ce qui me fait plaisir, il dose ses efforts et joue avec mon petit trou qui s’offre à lui. Ce « pervers » se retire de moi au moment où j’ai le plus envie de le sentir bien au fond, pour aussitôt présenter son gland à l’entrée de mon orifice, il imprime alors avec ses reins un mouvement tournant destiné à m’ouvrir le plus possible.

 

Je comprends vite ce qu’il prépare, mais je ne suis pas encore tout à fait prêt, j’ai encore trop envie de le savourer, ça faisait trop longtemps à mon goût que nous n’avions pas baisé ensemble.

  

Et puis je l’avoue, j’avais peut être un peu d’appréhension à recevoir Claude en moi !

 

Pendant tout ce temps, je tenais la main de Jacques, la sueur perlait à son front, son corps était secoué de soubresauts à chacun des assauts de son fouteur. Mais on lisait le plaisir dans ses yeux, dès que son partenaire faisait semblant de se retirer, elle s’empalait sur lui sauvagement.

 

            « - Donne moi un baiser chérie, comment fais tu pour supporter un tel chibre …

 

- Ho, très bien, c’est la première pénétration qui est la plus difficile, après ça va tout seul. Et, crois moi une bite de cette taille c’est un régal, j’ai l’impression d’avoir le bas ventre rempli, et quand il éjacule ça déborde. Tu vas voir quand ça va être ton tour. Tu sais depuis qu’il ma pris et défloré je ne peux plus m’en passer …

 

            - Humm, j’attends de voir quand nos cavaliers vont se décider à changer de monture.

 

            - Viens que je te branle mon ange. »

 

« - Claude veut tu goûter au petit cul d’André, il est à point pour toi je pense, regarde comme je te l’ai bien préparé, vois ce trou béant qui ne demande qu’à te recevoir ...

 

            - Pierre c’est un honneur que tu me fais de m’offrir ta compagne,

 

- Tu parles, je crois qu’elle t’a choisie, et puis vous avez déjà un peu consommer il me semble, non ?

 

- Oui, et je te cache pas que c’était délicieux. Mais tu vas voir, tu devrais pas être déçu non plus avec Jacques, elle est très ardente et avide de sperme plein son ……

 

- Hé bien les garçons, on n’est pas des marchandises. Et puis on perd du temps, j’ai très envie de changer de cavalier moi.

 

            - Moi aussi,

 

            - Alors, en selle les filles …. »

 

Dans un ensemble parfait nos sodomiseurs sortent de leur nid douillets et changent de place prestement.

 

C’est maintenant que les choses vont se compliquer pour moi, pensai-je, en souriant intérieurement et en réfléchissant à la meilleure position pour recevoir mon beau partenaire et son imposant objet.

 

Je me décide en une fraction de seconde, c’est allongé, les jambes en hauteur et bien écartées que je vais accueillir mon fouteur, j’adore cette position car elle permet de regarder mon partenaire dans les yeux, de voir sur son visage la montée de son plaisir, de le caresser et aussi l’embrasser. En plus, je trouve que l’on sent bien mieux le membre de son enculeur, qui peut pénétrer très profond dans le corps. C’est d’ailleurs une position classique chez les hétéros, et n’en suis-je pas un ancien ?

 

Jacques a décidé d’adopter la même position, aussi nous voilà allongées côte à côte, main dans la main, dans l’attente de l’assaut.

 

Il semble que Pierre et Claude veuillent opérer ensemble, ils se positionnent chacun entre nos jambes.   

 

Je ferme les yeux et retiens ma respiration.

 

Claude se penche sur moi et m’embrasse doucement, tendrement. Son bassin pèse sur le mien et je sens un bout de chair qui pousse sur mon petit trou. Je m’en empare fermement et je fais faire des ronds à son gland tout autour de mon anus et j’essaie de timides pénétrations.

 

Je réalise maintenant la difficulté de cette tâche. Une si grosse bite pour un si étroit petit cul ! Mais j’en ai vraiment envie, et puis ça n’est pas maintenant que je vais renoncer. Je positionne bien l’engin dans l’axe de mon cul-sexe.

 

« - Viens Claude, je suis prête pour te recevoir. Fais moi l’amour ….. maintenant ….. pousse      …. n’ai crainte …..

 

            - Me voilà chérie …. Je vais te remplir de ma queue. »    

 

Je sens le gland à la porte de mon corps, mes muscles anaux opposent une résistance au monstre.

 

En même temps que Claude pousse, je fais travailler mes reins vers l’avant, à la rencontre du ventre de mon partenaire.

 

Je jette un coup d’œil à l’autre couple. Ils ont interrompus leurs ébats pour observer ce qui se passe, tout en se masturbant mutuellement.

 

            « - Courage André, il y est presque, me murmurent-ils à l’oreille. »

 

Effectivement, mon sphincter a cédé à la pression, le gland vient d’entrer de quelques millimètres. Je sens que la victoire du mâle est proche. 

 

Mon baiseur accentue la poussée, je sens imperceptiblement la queue qui s’enfonce. Mon anus s’écarte de plus en plus, la douleur est maintenant de plus en plus forte. Des larmes coulent de mes yeux, j’ai la bouche grande ouverte à la recherche de ma respiration.

 

Mes trois compagnons me couvrent de baisers et me lèchent sur toutes les parties accessibles de mon corps.

     

Je sens Claude qui hésite …..

 

« - Viens continue, tu y es presque. C’est trop bon, encore … encore … encore … ma douleur commence à se changer en plaisir et nous allons bien jouir … »   

 

L’homme a finalement gagné, sa pine est maintenant enfoncée de plusieurs centimètres entre mes reins. Et il continue sa progression ! Où s’arrêtera-t-il donc ?

 

Ma douleur a disparue, et laissée la place à cette sensation indéfinissable et intense du membre qui me remplit de plus en plus le ventre.  

 

Maintenant que nous sommes unis, nous allons pouvoir forniquer, le plaisir est à notre portée .

 

Nous trouvons ensemble les mouvements de va et vient qui nous entraînent dans une copulation forcenée.

 

            « - Chérie c’est trop bon …. Ton cul me presse la bite à l’écraser ….. hummm ….

 

- C’est de la baise comme j’aime mon taureau, ne t’arrête pas, j’aimerais jouir en même temps que toi …. Ha … quelle bonne bite … »

 

Au risque de vous lasser, cher lecteur, j’abrège notre dialogue, mais laisser aller votre imagination tout en vous caressant.  

 

Le sexe de mon mâle entre et sort sans difficultés maintenant. C’est un délice de sentir cette grosse et longue chose fouiller mon anus-vagin.

 

L’étalon semble infatigable et je l’accompagne avec enthousiasme dans sa course. C’est tout à fait ce qui me convient, sur ce point il ressemble à Pierre. J’ai vraiment de la chance de rencontrer des garçons avec un tel tempérament.

 

Mais que fait mon autre amant pendant ce temps ?

 

Voyant que notre union avait évolué favorablement, mes deux amis ont repris leurs ébats amoureux.

 

Et … ils s’en donnent à cœur joie les coquins.

 

Pierre est allongé sur sa femelle, bien emboîté en elle. Ils sont ventre contre ventre, bouche contre bouche. Jacques a passé ses jambes autour des reins de son baiseur. Ils vont bon train tous les deux, dans un ensemble parfait. Plus rien n’existe autour d’eux, même pas nous.

 

Leurs gémissements annoncent la montée irrésistible du plaisir.

 

Je connais bien mon Pierre, je sais qu’il ne va tarder à jouir, sa partenaire aussi semble-t-il.

 

C’est un spectacle merveilleux et hallucinant que ces deux hommes qui font l’amour sans retenue.

 

Soudain Pierre se tend comme un arc. Sa queue au fond de l’anus de Jacques.

 

            « - Ouiiii, vas-y jouis …. Je sens ton jus qui m’inonde ….. encore … encore …. »

  

Je me sens soudain prête à accompagner ce couple dans la jouissance.

 

Une furieuse envie de jouir me prend, je veux moi aussi sentir le sperme me remplir, sentir l’homme prendre son plaisir en moi.

 

Claude me semble à point, ses mouvements se font plus désordonné, sa queue est agitée de soubresauts qu’il ne maîtrise plus, son souffle se fait plus court, la virilité du mâle en rût reprend le dessus, ces gestes ne sont plus caresses, tous ces signes annoncent l’éjaculation prochaine.

 

Et, la voilà, puissante, telle un raz de marée. Claude s’est enfoncé en moi jusqu’aux testicules, son pieu est entièrement dans mon corps maintenant.

 

Il laisse sa semence aller par jets saccadés, m’envahir jusqu’au tréfonds de mes intestins. 

 

La jouissance par le cul s’empare de moi, en même temps qu’une formidable éjaculation. J’aurais presque oublié que moi aussi j’ai un pénis.

 

Je voudrais fondre mon corps dans celui de mon maître, je le serre de toute mes forces entre mes bras. Une paix intérieure obscurcie mon esprit.

 

Je me détache de mon enveloppe corporelle, et je survole les corps emmêlés sur le grand lit, vautrés dans l’extase et le plaisir des sens. 

 

Combien de temps a duré cette évanouissement ? Impossible de le dire, mes amis aussi se sont assoupis, repus de luxure.

 

Je sens une langue entre mes fesses, c’est Jacques, qui lèche et avale le foutre qui s’échappe de mon anus.

 

« - Tu veux bien partager la liqueur de mon Claude ? Je n’avais pas encore vu une telle abondance de sa part. J’aime tant le goût de ce qui vient de lui.

 

- Continue mon chou, ça me fait le plus grand bien. Ton mec m’a quand même pas mal arrangé.

 

            - Je vois ça, mais tu crois que Pierre m’a épargné ? dit-il en riant »

 

Je ris à mon tour, tout en collant sa tête serrée entre mes cuisses.

 

3way167

Mer 10 mar 2010 Aucun commentaire