J'aime les bites pour les plaisirs qu'elles me donnent.

Après avoir fait une petite promenade histoire de se reposer et pour ces messieurs de recharger les batteries, nous nous retrouvons à deux couples pour boire un dernier verre (enfin, c'est ce qui était prévu) ......

Cette promenade des plus salutaire nous a remis en forme. En marchant, des mains s’égarent sur mes fesses, je ne sais pas trop à qui elles sont, Claude m’arrête de temps en temps pour m’embrasser furtivement, mais avec passion.

 

Pierre de son côté ne se gêne pas avec Jacques, et fait de même.

 

Les tabous et la jalousie ne sont pas de notre groupe, et les couples se reforment au détour d’une rue, pour se séparer de nouveau.

 

Je commence à me dire que la suite des évènements chez Pierre risque d’être plutôt chaude. Ma foi, voilà  une expérience qui me tente énormément. J’ai déjà des picotements entre mes fesses, annonciateurs de plaisirs fous.

 

La promenade se termine comme dans un rêve, nous sommes devant la porte de l’appartement. Nous nous regardons les uns les autres avec un léger sourire, curieux mais pas inquiets de ce qui va suivre.

 

Pierre fait les honneurs de son logis à nos invités, et leur fait visiter toutes les pièces, y compris notre chambre que nous avions laissé un peu en désordre après nos ébats de l’après-midi.

 

                « - André, ma petite maîtresse de maison, tu peux me donner un coup de main pour servir un verre , et ranger un peu pour que nous ayons assez de place pour nous installer confortablement ?

 

                - Oui mon chéri avec plaisir, et je vois où tu veux en venir, dis-je en riant gaiement . »

 

Je commence par sortir verres et bouteilles et servir nos deux amoureux qui se pelotent allègrement en  attendant.

 

Je pose discrètement dans un coin facile d’accès, les accessoires indispensables pour notre petite fête à venir (préservatifs, poppers, cock-rings, godes ….. au cas où)

 

Pierre et moi poussons les meubles du milieu de la pièce, et à la place nous installons deux matelas cote à cote.

 

                « - Hé bien, le décor est planté mes chéris, ça vous plait ?

     

                - Super André ! » s’exclament mes trois compères qui se précipitent sur moi pour m’embrasser, et me cajoler en remerciements.

 

Mais je me demande comment entâmer les « hostilités », et qui va se décider le premier à faire le geste qui va tout faire basculer.

 

Je bois un verre et décide d’aller prendre une douche et me mettre à l’aise.

 

Pierre fait un signe discret à Claude, qui m’emboîte le pas.

 

Jacques aussitôt s’installe près de mon amant. 

 

« C’est parti ! pensez-je, soulagé. »

 

  A peine entrer dans la salle de bains, Claude me prend ma tête à deux mains et plaque sa bouche sur la mienne avec autorité.  Sa langue tente de forcer mes lêvres, j’oppose une résistance, juste ce qu’il faut pour l’exciter encore un peu plus. Je finis par capituler et sa langue envahie ma bouche, fouille dans tous les coins, tourne, retourne, se durcie, entre et sort pour me faire comprendre ses desseins. Patience beau mâle, tu n’es pas encore à point !

 

Je suce sa langue, comme je ferais d’un sexe, goulûment, profondément. Claude sait maintenant que moi aussi j’ai faim de lui, comme lui a faim de moi.    

 

Mes hanches sont plaquées aux siennes, j’opère des mouvements tournants avec mon bassin, je sens de plus en plus la rigidité du sexe de mon partenaire. J’ai l’impression que je vais découvrir tout à l’heure un engin de belle taille, et ça m’effraie un peu.

 

Ma chemise est déjà ouverte, ma ceinture débouclée, il s’attaque à ma braguette maintenant.

 

                « - Tu ne perds pas de temps dis donc, murmurai-je en enlevant chemise et pantalon. Laisse moi te déshabiller Claude, j’ai hâte de voir ta queue. »

 

Le bougre, ne m’en laisse pas le temps, il retire maillot, jean et string en un tour de main.

 

Il est là, nu devant moi, dans la glace derrière lui, se reflête son dos, sa chute de reins, ses fesses musclées, ses cuisses puissantes.

 

Je pose mes mains sur sa poitrine, je titille légèrement ses tétons durcis, je caresse doucement son ventre plat et poilu … et je ne peux m’en empêcher, mon regard descend vers son bas ventre.

 

Bigre, c’est bien ce que je pensais, j’ai là, sous mes yeux ébahis, un pénis d’une taille impressionnante.       

 

Emerge d’un buisson fourni de beaux poils frisés  et luisants, un pieu d’environ vingt deux centimètres de long, au moins douze de circonférence, dure comme de l’acier. J’empoigne cette belle bite sans hésiter. J’ai la main bien remplie, et je sens tout le poids de cette chair peser entre mes doigts, une vie et une puissance intérieure la font vibrer et sursauter.  Mon dieu, comment vai-je la faire pénétrer dans mon petit trou ?

 

                « - N’ai pas peur André, c’est difficile la première fois, mais j’y mets beaucoup de douceur et de tendresse. D’ailleurs Jacques ne s’en plaint pas , et il en redemanderait plutôt deux fois qu’une.

 

                - J’ai l’habitude avec Pierre qui n’est pas mal monté non plus, mais là, c’est plus que de la gourmandise qu’il faut avoir pour engloutir cet engin. Mais bon, j’ai pas mal d’appétit, et maintenant que je la tiens je vais te déguster mon chéri, et tu ne seras pas déçu. » 

 

J’embrasse tendrement mon étalon et glisse sa queue entre mes cuisses, il en profite pour passer ses mains dans la raie de mes fesses.

 

A califourchon sur cette superbe monture j’entame des mouvements d’avant en arrière et me mets à masturber mon étalon, entre mes cuisses bien serrées.          

 

Claude me serre dans ses bras, de plus en plus fort, à la mesure de son plaisir qui monte dans son bas ventre. Nos lèvres se rejoignent avec passion, nos langues se retrouvent pour un baiser ardent qui n’en finit plus, notre étreinte se fait fougueuse, nos sens en émoi ne contrôlent plus nos corps. Je parviens à me détacher doucement et je glisse le long du torse de mon partenaire. Me voici à genoux devant lui, sa belle queue près de mon visage,et fierement dressée elle semble me narguer et m’inviter.

 

Je la prends en main fermement, lentement je tire sur le prépuce pour bien dégager le gland, déjà humide et luisant. Je dépose de légers baisers partout sur cette belle bite, le gland d’abord, le pénis que je lèche aussi par la même occasion, les couilles enfin que j’avale goulûment. Et je reprends ma course en sens inverse, celà plusieurs fois de suite. Et enfin je le prends en bouche.

 

Humm, ce sexe est un délice, avec un goût indéfinissable, sucré et parfumé. Malgré sa dureté extrème, il est doux et soyeux. Un vrai plaisir et un régal, j’éprouve les mêmes sensations que la première fois où j’ai sucé un homme.

 

Ma bouche se fait sexe, et j’enferme voracement se morceau de chair entre mes lèvres. Dès ce moment, ma tête me tourne, je ne me maitrise plus, je deviens vorace, affamé de cette queue que je veux déguster tout mon saoul, sans répit jusqu’à ce qu’elle demande grâce en laissant couler dans ma bouche cette liqueur que j’adore. Je suce sans plus pouvoir m’arrêter ce pénis monstrueux, son gland remplis ma bouche, je l’avale au plus profond de ma gorge mais je ne parviens pas à l’engloutir totalement. Je le serre entre mes machoires comme je le ferais s’il était dans l’endroit que vous imaginé. Ma langue tourne, tourne autour furieusement. Je veux avoir ce sexe à ma merci, je veux que Claude me supplie d’arrêter, ou qu’il éjacule brutalement sans prévenir.

 

Je presse tendrement ses testicules que je sens pleines d’un bon jus, je reprends ma respiration et concentre mon attention sur ce gland turgescent, prêt de l’explosion, ma langue et mes lèvres passent et repassent, embrassent, lêchent, sucent, mordillent. Je l’avale de nouveau au plus profond, pour le rejeter et encore le reprendre.

 

Claude geint de plus en plus fort, ses mains posées sur ma tête pour me retenir plaqué à lui. Je passe une main entre ses fesses et insinue un doigt vers son anus que je pénêtre sans préparation. Mon partenaire se cabre, tellement que sa queue finit par entrer complètement dans ma gorge. C’est le moment qu’il choisit pour lancer son foutre en moi, ma bouche se remplit rapidement, le jus me coule des lêvres, j’avale une quantité incroyable de ce sperme bouillant. Cette éjaculation à la taille de cette bite royale n’en finit pas. Je la tète comme un animal tète les mamelles de sa mère.

 

Au bout de quelques instants nos redescendons sur terre. Je suis à genou au pied de mon mâle, la bouche dégoulinante de son jus. Son pénis toujours vaillant est trempé et laisse tomber des gouttes sur mon visage.

 

                « - Hé mon chéri, mais je n’ai pas tout bu !

 

                - Tu es un sacré gourmand André ! N’ai crainte, tu en auras encore, j’ai de la réserve et sans me vanter je suis capable de tirer plusieurs salves de suite. D’autant qu’avec une partenaire comme toi, on est vite excité.

 

                - Faisons un brin de toilette, et allons rejoindre les autres. Je trouve qu’ils ne font pas beaucoup de bruit. »


A suivre

 

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Mer 24 fév 2010 Aucun commentaire