J'aime les bites pour les plaisirs qu'elles me donnent.
Nous nous réveillons doucement, les premiers gestes qui nous viennent à l'esprit : bisous et calins.
Ce qui est étrange, c'est que Pierre bande toujours. Et, donc, n'ayant pas bougé, son sexe est toujours planté dans mon anus-sexe.
" - Apparemment nous sommes inséparables mon beau mâle, il va pourtant falloir bouger un peu. Je suis trempé de foutre - et toi aussi. Une petite douche serait la bienvenue non ?"
Nous parvenons à nous séparer l'un de l'autre.
Tu ne sembles pas avoir envie de remuer, et j'en profite pour admirer ton corps, tu es tel un fauve épuisé après avoir copulé avec sa femelle. Ton sexe enfin calmé repose sur ta cuisse, je ne peux m'empêcher de le saisir doucement, de le carresser et de l'embrasser, du gland aux testicules. Mes doigts peignent les poils de ton pubis. Je ne résiste pas au plaisir de lécher tout ces trèsors, poisseux de sperme, qui s’offrent à moi et à ma bouche gloutonne.
Hummm, mais c’est que ce coquin serait prompt à se reveiller, il faut que j'arrête, ça ne serait pas raisonnable.
Pierrre se lève soudain, il me prend dans ses bras et m’emporte dans la salle de bains d’un pas décidé.
Je ne peux m’empécher de sourire, je sens sous mes fesses sa queue qui s’est durcie.
« - Hé oui, tes rondeurs me font toujours cet effet là, mon ange.
- Quand te calmeras tu obsédé !? Ne me dis pas que tu as déjà rechargé tes batteries, et que tu es prêt à remettre ça ! Laisse moi le temps de souffler, j’ai bien sûr encore envie de toi mais mon petit cul a besoin d’un peu de calme.
- Oui, ma chérie, je crois que ma pine à aussi besoin d’un peu de calme ……… avant une autre tempête. »
A l’idée d’une autre tempête, nous éclatons de rire, nos yeux se mettent à briller et nos lêvres se rejoignent pour un tendre baiser.
Nous nous éternisons sous la douche, l’un lavant l’autre, sans pouvoir s’arrêter. Pour le coup, nous voilà propres comme des sous neufs, sans plus aucune traces de nos ébats amoureux.
J’enduis Pierre d’une crème douce et parfumée, et bien entendu je m’arrête longuement aux endroits les plus intimes de son corps. Evidemment il en fait de même, mais lui s’arrête à l’endroit qui me provoque le plus d’émoi et de sensation.
Nous décidons de sortir en ville, pour prendre l’air, et des forces, en allant manger un morceau dans un petit restaurant où nous sommes sûrs de rencontrer des amis, des semblables.
Nous passons une soirée très animée et joyeuse, Pierre et moi nous dévorons à belles dents notre repas et ne lésinons pas sur un délicieux vin rosé bien frais.
Les conversations avec nos amis et voisins de tables sont des plus passionnantes, et parfois coquines. Au café, les regards se font plus appuyés et amoureux, les mains s’égarent sous la table.
Bien chaude, je ne peux m’empêcher de poser un baiser langoureux sur les lèvres de Pierre ; sous les vivas de l’assistance. Du coup, la timidité de certains s’envolent et d’autres baisers s’échangent.
Le repas terminé, nous nous retrouvons à deux couples, décidés à terminer la soirée en discothèque.
En route donc, et après la danse on verra ce qui se passera pensais-je. D’autant que l’un de nos deux amis est migon à croquer et je me verrais bien au mileu de ces partenaires pour finir la nuit.
La boîte est pleine à craquer, compte tenu de l’heure l’ambiance est déjà très chaude.
Je sais que Pierre n’est pas jaloux et il me laisse « draguer » Claude – le mignon dont je vous ai parlé tout à l’heure. Pendant ce temps là il se place auprès de Jacques, le petit ami de Claude.
Je crains le pire pour la fin de la nuit, si nous nous retrouvons tout les quatres ensemble dans la même pièce.
En attendant nous dansons et buvons de la vodka, c’est la fête !
Dans un coin sombre, Claude m’a pris par la taille et embrasser fougeusement. Sa langue a envahi ma bouche, son corps s’est plaqué contre mon ventre et j’ai senti son sexe bandé appuyer sur le mien.
Nous nous dirigeons vers la backroom, malheureusement l’endroit est très fréquenté. D’ailleurs j’y aperçois Pierre en compagnie de Jacques et je leur adresse un baiser de loin, il me répondent par un sourire qui en dit long sur leurs intentions. Nous nous retrouverons mes gaillards, vous ne perdez rien pour attendre ! Claude en profite pour me serrer de plus près , et cette fois il est derrière moi.
« Hum, Claude je sens ton sexe sur mes fesses, continue tu m’excites.
- Allons danser, si je continue à me frotter comme ça contre ton petit cul, je vais vite éjaculer.
- Ho non, attends la nuit n’est pas finie »
Finalement toutes les bonnes choses ont une fin, la discothèque va fermer ses portes, il nous faut partir.
Nos deux couples se sont un peu mélangés, Pierre tient Jacques par la taille et m’embrasse, Claude me tient par la main et embrasse Jacques. Nous sommes très amoureux les uns des autres et on peut apercevoir des renflements prometteurs dans les pantalons de ces messieurs.
Nous décidons d’aller boire un dernier verre chez Pierre, tout en faisant une petite promenade en
ville.