J'aime les bites pour les plaisirs qu'elles me donnent.

La semaine dernière j'ai découvert avec plaisir les joies de la sodomie, j'en redemande comme de juste.

Ceux qui connaissent de me diront pas le contraire.

Bonne lecture .............

Des sniffs de poppers aidant, nous nous retrouvons allongés et très excités sur le lit.

 

J'ai des envies de masturbation, comme par hasard, Pierre aussi.

 

«  - Allonge toi Pierre, hum, pas mal le cock-ring, il met bien tes couilles en valeur !»

 

J'empoigne sa pine à pleine main, et je la serre bien fort, tout en opérant des va et vient et en gardant son gland bien décalotté. Son pieu grossit et durcit rapidement dans ma main experte.

 

Les yeux fermés il s'empare de ma bite, je pense défaillir tellement il me serre fort. Pierre commence à me branler, sa main s'est faite douce et câline, il effleure à peine mon sexe, du gland jusqu'aux couilles.

 

Nous voilà tous les deux avec une belle érection, après ces jeux de mains.

 

Mais, j'ai profité de ton trouble, tout en te branlant j'ai réussi à t'attacher les poignets aux montants du lit.

 

Te voilà donc à ma merci mon beau mâle ! Pour ton plaisir et le mien.

 

Je commence par admirer en détail ton superbe sexe. Je ne m'en lasse pas de ce membre toujours prêt à me donner du plaisir, ce pieu énorme qui émerge du buisson fourni de tes poils pubiens !! Je tire vers le bas la peau de ton pénis pour bien dégager le gland, que je presse pour ouvrir l'orifice par lequel jailliront tout à l'heure des jets de foutre. Hum, cette belle queue bien dure et ces veines gonflées à craquer qui la parcourent, ce gland rouge violacé avec une perle de jus qui suinte et que je m'empresse de lécher. Je malaxe tes testicules avec une infinie tendresse, je sais qu'elles sont de nouveau pleines de bon sperme.

 

« - Tu es à ma merci Pierre, laisse moi te masturber et te faire bander encore plus fort. »

 

Ma main monte et descends lentement et légèrement, j'effleure à peine ton pénis.

 

« - André, arrête tu m'excites trop.

 

- c'est ce que je veux mon chou. »

 

Pendant ce temps mon autre main caresse son corps en tout sens. Une incursion entre ses cuisses musclées ... et entre ses fesses, un doigt qui s'égare vers l'anus. Hum, tu aimes ça coquin.

 

Je ne me lasse pas de ton corps poilu, moi qui suis imberbe et chasse le moindre poil. J'aime ton corps velu et je me frotte tout entier contre toi à m'en faire rougir la peau.

 

Je ne résiste plus à la vue de cette belle queue, il faut que je t'avale mon amour.

 

Je veux sentir vibrer ta bite au fond de ma gorge.

 

Déjà ton gland remplis ma bouche ....

 

« - Suce moi ma chérie, j'aime ta bouche ahhhhh oui continue ... »

 

Doucement j'engloutis ton pénis, doucement, doucement.

 

Ma langue tourne autour de cet énorme morceau de chair. Tu donnes des coups de reins pour aller plus loin encore, tu n’es qu’un sauvage en rut !

 

Ton sexe est au fond de ma gorge, tu es tout entier en moi, mes lèvres sont dans tes poils et touchent tes couilles, j'enfonce un doigt dans ton anus.

 

Moments sublimes, j'hésite entre te faire jouir maintenant ou mettre ce bijou dans une autre partie de mon corps.

 

Ta bite toujours en bouche, je me positionne pour te présenter mon cul et mon sexe.

« - A toi de choisir ce que tu préfères de moi.

 

- Les deux ma cochonne, je vais te lécher le cul et te pomper le dard tour à tour, et tu jouiras la première. »

 

Ce faisant je rapproche mes fesses de son visage, et Pierre colle sa bouche à mon anus. Sublime caresse qui me fait crier de plaisir ! Une langue pointue et dure pénètre dans mon petit trou, pour entamer un doux va et vient.

 

Pierre me sodomise avec sa langue ! Je n'en peut plus, mon excitation est à son comble ! Je colle mes fesses au visage de mon amant, avide de sentir sa langue au plus loin dans mon anus-sexe. Cette caresse diabolique j'aimerais qu'elle ne s'arrête jamais.

 

« - Pierre calme toi, sinon tu vas jouir dans ma bouche.

 

- Alors viens jouir dans la mienne, mon excitée du cul !

 

- Tout de suite beau mâle tes désirs sont des ordres, je vais te faire goûter mon foutre »

 

Joignant le geste à la parole, je change de position, assis sur le torse de Pierre (je sens d'ailleurs ses poils me gratter les testicules ! humm), je lui présente ma bite que j'enfonce d'autorité dans sa bouche.

 

« - Pompe moi mon chéri, vas-y, tu seras récompensé bientôt et tu redeviendras mon maître et moi ton esclave»

 

Tous mes amants disent que je suce bien, mais pour un actif je trouve que Pierre n'est pas mal du tout non plus. Moi qui suis plus habitué à sucer, qu'être sucé j'apprécie sa bouche gourmande.

 

Mon jus commence à bouillir dans mes couilles, le sang tape à mes tempes, mes reins donnent des coups de plus en plus forts.

 

Mon plaisir arrive comme explose un volcan, je sens d'abord mon foutre monter dans mon pénis puis jaillir en jets puissants dans la bouche béante de Pierre.

 

Je hurle ma jouissance et pousse un cri d'amour :

 

«  - Je t'aime, je suis à toi, prends moi, viole moi, encule moi, défonce moi, maintenant ! »

 

Après cette éjaculation violente, je m'écroule sur le corps de Pierre. Nous sommes sexe contre sexe, bouche à bouche et je bois le sperme dont je l'ai abreuvé.

 

J'écarte les jambes au maximum, et par quelques petits coups de reins, je place son membre entre mes fesses. Je me cambre et son gland vient se poster à l'entrée de mon petit trou. Je me redresse, en appui sur les mains.

 

Me voilà prêt pour me faire empaler, et le meilleur dans la sodomie ce sont les premiers centimètres, je ne vais donc pas m'en priver, je vais même en user et en abuser.

 

J'appuie un peu mon anus-sexe sur le gland de Pierre, une légère douleur et le premier centimètre est rentré, encore une légère pression et le gland tout entier est en moi.

 

« - Alors mon beau mâle en rut, tu as envie de baiser ta femelle en chaleur ?

 

- Ouiiii, ma chienne je vais te remplir le cul comme jamais,

 

- Hummm quel programme! mon queutard d'amour ! »

 

Je relève mon bassin, sa queue ressort, je replonge aussitôt ..... je retrouve les mêmes sensations qu'à la première introduction, mais je l'enfonce un peu plus profond cette fois.

 

Et je continue ce mouvement, de longues minutes, plusieurs fois, doucement, de plus en plus profond à chaque fois.  Je halète de plaisir, Pierre gémit plus fort à chacune des pénétrations.  Le membre de mon homme est planté au plus profond de mes reins, je le sens vivre en moi. Mes fesses écrasent son bas ventre. Je fais des petits mouvements en ronds, ce qui me permet de savourer les poils drus de son pubis entre mes fesses. 

 

« - Ma petite chatte, je ne vais pas tenir longtemps comme ça. 

 

- Moi non plus, ta bite de cheval me met le feu au cul mon chéri."    

 

Je me relève encore lentement, puis lorsque son gland est au seuil de mon anus,  je retombe brutalement et je savoure la longueur de son sexe qui me pénètre.

 

Pierre et moi, nous nous prenons à ce jeu, et nous recommençons de nombreuses fois, les yeux dans les yeux.  Une fois de plus, il n’existe plus que nos corps et nos sexes. Nos bouches finissent par rester soudées l’une à l’autre, nos langues mélangées.

 

Je libère Pierre de ces liens. Je n'y tiens plus, j'ai trop besoin de sentir ses bras m'enlacer.   A peine détaché, ses mains m'empoignent durement par les hanches (.... André mon ange, ça va être ta fête, pensais-je).  Pierre me soulève juste ce qu'il faut pour que sa verge ne sorte pas entièrement de mon "sexe", et ensuite il me laisse retomber sur lui.

 

Et le bougre recommence plusieurs fois, en esquissant un sourire.  Quelle terrible sensation ! J'ai l'impression que son pieu me transperce les entrailles.  C'est ça le supplice du pal ? J'en redemande, à ce rythme là je crois plutôt que nous allons vite jouir tous les deux.

 

D’une main Pierre me pince les tétons, de l’autre il me malaxe les fesses, pendant ce temps je tiens la tête de mon amant entre mes mains. Nos mouvements se sont arrêtés, nous sommes collé l’un à l’autre. La bite de mon homme est au plus profond de mon cul devenu matrice. Ses couilles plaquées entre mes fesses, je sens son  gland bouger dans mon corps.

 

Son souffle se fait rauque, mon sphincter  serre encore plus fort sa pine, et j’entame un langoureux et ample mouvement de va et vient.

 

A chaque coups de reins, le pieu qui me transperce se fait de plus en plus dur et brutal. Pierre a pris la direction des opérations maintenant, il me tient fermement par les hanches, me soulève et me laisse retomber sur lui, tout en donnant de violents de bassin.

 

Enfin Pierre me plaque fort sur son bas ventre, je sens sa bite loin dans mon cul-vagin. Il se cambre, ferme les yeux, son sexe est pris de spasmes terribles, dans le même temps mon anus se resserre et s'élargit convulsivement comme si j'avais un orgasme, je sens une chaleur terrible me remplir les entrailles.

 

Ce traitement commence à faire effet sur nous. La folie s’empare de nos corps, nos mouvements sont de plus en plus désordonnés.

 

Je ne peut m’empêcher de crier :

 

                « - Pierre fais moi jouir, je t’en prie, ne t’arrête pas, encore, encore, encore ………..

 

                - Tiens, prends ça, et ça …. Tu me sens bien ma folle de la baise ? Ma chérie, que ton petit cul charmant me donne de plaisirs !

Enfin, sa bite explose en moi. Des torrents de foutre coulent dans mes intestins. Au comble du plaisir, je ne peux retenir une éjaculation.

 

Mon foutre n'arrête pas de gicler !! Je voudrais que ça continue encore et encore. 

 

- Humm oui, je sens ton zob cracher son jus. Donne moi encore de ta semence, remplis moi sauvage." 

 

Nos corps sont collés l'un à l'autre par nos sexes, instants d'ivresse que nous essayons de prolonger.  Je m'allonge sur Pierre, sa pine reste plantée en moi. Nous échangeons de doux et tendres baisers, en nous caressant. 

 

Me voilà trempé de sperme, sur le ventre et les fesses.

 

Je m’écroule de bonheur et d’épuisement dans les bras de mon fouteur.

 

Epuisés, saoulés de plaisir et de jouissance, nous nous endormons tout deux.



kiss a
Mer 10 fév 2010 Aucun commentaire